dimanche 23 septembre 2018

Violences réelles contre "Haine" sur internet

Gil Taieb, Mounir Mahjoubi, Edouard Philippe, Laetitia Avia et Karim Amellal, unis contre la "Haine".

Le "vivre-ensemble" se porte merveilleusement bien en France où l'enrichissement culturel bat son plein comme le prouve l'article suivant :


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Reims : un étrange rituel dans une maternité dégénère, une jeune mère menacée de mort

Quelques jours après son accouchement à la maternité du CHU de Reims, une jeune Rémoise de 19 ans a été victime de menaces de mort et de violences par un groupe de personnes venues pratiquer un rituel.
Une scène étonnante s'est déroulée dans une chambre de la maternité du CHU de Reims dimanche soir, comme le rapporte L'Union (édition abonnés) jeudi. Une famille s'est adonnée à un étrange rituel, rappelant les pratiques du vaudou, autour d'une femme qui venait d'accoucher, avant d'agresser la jeune mère qui partageait la chambre.

Un homme "qui faisait un peu sorcier". Laura, jeune Rémoise de 19 ans, raconte que sa voisine, originaire de Guyane et déjà fort bruyante la nuit, a reçu la visite d'un groupe de huit personnes, dont deux enfants, dimanche soir, en dehors des heures de visite. Et parmi ces visiteurs impromptus, figurait un homme "qui faisait un peu sorcier", selon les mots de Laura à L'Union. "Il avait l'air défoncé, les yeux lui sortaient de la tête." Une sorte de rituel de plus en plus bruyant a alors débuté. "Au début, ils parlaient normalement, puis de plus en plus fort, de plus en plus vite. Ils ont fini par hurler."

La jeune femme, insultée, prévient alors son mari, Thibaut, qui arrive avec sa belle-mère. Celui-ci doit forcer la porte pour pénétrer dans la chambre. Il est alors pris à partie par le "sorcier". 

Une "exfiltration" houleuse. D'après le récit de la jeune maman et de ses proches, une scène d'une grande confusion se déroule alors. Le "sorcier" frappe Laura d'"un coup de coude à la tempe", raconte la grand-mère, avant de "projeter [le berceau, avec le bébé] contre le mur." Après avoir mis son enfant en sécurité dans les bras d'une autre maman, Laura parvient enfin à sortir de la chambre. "Une fois dehors, les gens de l’hôpital nous ont emmenés dans un bureau, au calme", explique-t-elle. "Ils ont récupéré mes affaires, puis ils nous ont mis dans une chambre individuelle."

Enquête ouverte et dépôt de plainte. Lorsque la police est arrivée, la sécurité de l'hôpital avait déjà évacué le groupe. Aucune interpellation n'a eu lieu, précise L'Union, mais une enquête a été ouverte. Laura a déposé plainte pour "menaces de mort réitérées", "violence sans incapacité" et "violence sur mineur de moins de 15 ans". 

Si la petite fille de Laura n'a pas été blessée, elle a pleuré toute la nuit et a réclamé à dormir dans les bras de sa mère, un signe de stress selon les services de l'hôpital. La direction de l'hôpital ne s'est pas exprimée sur cette affaire.

Source : Europe 1


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Heureusement, la République veille sur la laïcité et l'égalité entre les cultes.
Autre fait divers marquant l'embellissement de la France par le multiculturalisme, à Tours cette fois, où deux frères d'origine africaine (il est nécessaire de regarder la petite vidéo présente sur le site de RMC.BFMTV pour intégrer ce détail) ont massacré un père de famille turc :


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Mort pour une place de parking: "Il a été massacré, c'est un acte inhumain" confie sa fille sur RMC


Mort pour une place de parking. Un père de famille de Saint-Pierre-des-Corps, près de Tours, est mort lundi après avoir été roué de coup, samedi soir, vers 18h30 samedi dernier.

Ali était venu faire ses courses dans un supermarché avec sa femme et trois de ses enfants. Conducteur de bus pour la compagnie d'agglomération de Tours veut alors se garer sur une place mais celle-ci est “gardée” par une fillette qui affirme qu’elle est réservée pour ses grands frères. Ali décide malgré tout de s’y garer. C’est alors que les deux frères, âgés de 21 et 24 ans, se garent juste derrière avec leur Mercedes noire.

Une bagarre, particulièrement violente, éclate: le père de famille de 43 ans est roué de coups de poing et de coups de pieds, même à terre. Des témoins parlent d’un "acharnement". Ses enfants assistent à la scène sans rien pouvoir faire. Sur RMC, sa fille Aylin a témoigné sa peine: "On ne peut plus appeler ça un règlement de comptes, c'est un acharnement". 

"Il a été massacré. C'est un acte inhumain" explique-t-elle. "Il s'est garé et n'a pas vu que la place était réservée. Quand la petite fille lui a dit, il a vu une autre place et, comme il était déjà garé, il s'est dit que ce n'était pas la fin du monde". Elle explique également que certains témoins, clients du supermarché, ne sont pas intervenus pour mettre fin à cette bagarre. "Je n'étais pas là, mais on m'a raconté que, si quelqu'un ont tenté de faire quelque chose, personne n'a rien fait. Ce n'est qu'à la fin que des gens ont empêché de frapper, mais en vain". 

Les deux agresseurs, interpellés, sont déjà connus de la justice pour des affaires de vol et d'escroquerie. En garde à vue, ils ont expliqué avoir agi sous le coup de la colère et indiqué qu'ils n'avaient pas supporté les insultes...

Aylin indique sur RMC que finalement, par "crainte des débordements, la marche blanche prévue samedi est annulée". La jeune femme explique ainsi avoir reçu de nombreux messages haineux depuis le drame: "Je vais me battre pour mon père qui était innocent, du début à la fin".

Source : RMCBFMTV


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Malgré ce climat de plus en plus lourd, ces violences bien réelles qui se multiplient et cet échec patent de la fameuse société "arc-en-ciel" voulue par nos élites autoproclamées, l'important, ce qui compte réellement, c'est bien sûr la "lutte contre la haine sur internet".
Ce n'est pas moi qui le dit mais Gil Taieb et le CRIF, vous avez donc plutôt intérêt à y croire.

Il faut profiter des derniers mois/années avant que la censure ne soit complète et qu'internet ne devienne qu'une succursale de TF1/Le Monde/France Inter, dans laquelle tous les propos qui ne rentreront pas dans la ligne strictement définie et programmée par le pouvoir seront irrémédiablement supprimés et leurs auteurs durement châtiés.

jeudi 20 septembre 2018

En 1934, H.G. Wells prédisait la future guerre mondiale



Avec un flegme tout britannique, l'écrivain Herbert George Wells (auteur notamment du "Nouvel Ordre Mondial") annonçait le début de la Seconde Guerre Mondiale pour 1940...



dimanche 16 septembre 2018

"Tuer les fermiers blancs" n'est pas considéré comme raciste en Afrique du Sud



Personne ne s'insurgera en France ou en Europe, tout est "normal".
Le racisme ne peut pas être dirigé contre les "Blancs", cela ne se discute pas.

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Afrique du Sud: pour la justice, «Kill the boer» n'est pas un chant raciste

Publié le 16-09-2018 Modifié le 16-09-2018 à 01:24

Le licenciement de huit employés noirs a été annulé par un jugement de la Cour constitutionnelle sud-africaine, le 13 septembre. Leur entreprise les avait remerciés en 2013 sous prétexte qu'ils avaient entonné un chant de lutte contre l'apartheid à connotation raciste. Selon la plus haute juridiction du pays, le chant, nommé « Kill the Boer » (« Tuer les fermiers blancs »), n'a donc pas de connotation raciste. Une décision qui vient s'ajouter aux tensions raciales déjà très fortes dans le pays.
Lors d'une grève en 2013, huit employés d'une entreprise de collecte de déchets de Johannesburg chantaient « Hit the boer », un chant de libération dont les paroles se traduisent par « Monte sur le toit et crie que ma mère se réjouit qu'on frappe les Boers ».

Le terme « boer » est controversé en Afrique du Sud : il désigne une partie de la minorité blanche, plus précisément les fermiers descendant des colons hollandais. Un terme utilisé du temps de l'apartheid et qui, pour le président du parti FF+ Pieter Groenewald, appelle à la haine raciale. Fréquemment monté au créneau contre les différents chants de libération de la majorité noire, Groenewald regrette que la justice permette de « victimiser » légalement les Blancs sud-africains.

La majorité noire du pays, elle, chante encore souvent ces refrains de lutte contre l'apartheid, notamment dans les meetings politiques ou les manifestations. Pour le syndicat minier NUMSA, aucune connotation raciste dans le chant « Hit the boer », mais plutôt un hommage au combat de libération et un devoir de mémoire.

Cette décision intervient au moment où les députés débattent de la réforme de la terre, et où le président Cyril Ramaphosa tente de concilier les peurs des fermiers blancs tout en redistribuant un maximum de terres aux noirs sud-africains.

Source : RFI

Le néoconservatisme, un mouvement juif (K. MacDonald)

Richard Perle, une des principales figures du mouvement néoconservateur.

"Petit peuple" révolutionnaire, appelé non pas à se substituer au vrai peuple mais à le diriger et, le cas échéant, à le détruire en agrégeant autour de cette minorité d'autres minorités, instaurant ainsi la dictature de tout ce qui est antinational sur tout ce qui est national."
(Augustin Cochin cité par Philippe Baillet dans son excellente préface au livre de MacDonald)



Kevin MacDonald


"Le néoconservatisme, un mouvement juif" est une très bonne étude sur un mouvement néoconservateur assez méconnu en France et pourtant ô combien influent sur la politique étrangère américaine depuis plusieurs décennies.
MacDonald démontre que l'influence d'un Leo Strauss est en fait limitée et qu'elle ne résume que très partiellement l'esprit du mouvement.
Il décrit le néoconservatisme comme "un réseau professionnel et familial, imbriqué et complexe, qui s'articule autour d'organisateurs et de journalistes juifs et qui se déploie avec souplesse pour attirer les sympathies à la fois des Juifs et des non-Juifs, dans le but de mettre la richesse et la puissance des Etats-Unis au service d'Israël."

C'est donc un mouvement sans réel leader ni doctrine mais avec un but bien précis.
D'abord réunis sous la bannière de la gauche, de nombreux Juifs ont quitté celle-ci après qu'elle soit devenue antisioniste.
Irving Kristol est un des premiers à "changer de camp" en devenant républicain, il soutint Richard Nixon en 1972.
Petit à petit, les néoconservateurs vont infiltrer le mouvement conservateur américain (que l'on désigne aussi sous l'appellation de "paléoconservateurs") "en chassant ou en évinçant les conservateurs traditionnels, et en modifiant les positions et la philosophie de ces institutions dans un sens néoconservateur."

MacDonald souligne que les néoconservateurs ont été en première ligne pour soutenir l'immigration massive de non-Européens aux Etats-Unis, l'objectif étant de détruire "cette idée de civilisation chrétienne".

"La déseuropéanisation de l'Amérique est une nouvelle encourageante, d'une qualité quasi-transcendante"  écrivait en 1984 le néoconservateur Ben Wattenberg dans son ouvrage "The Good News is the Bad News is Wrong".

Ce genre de volonté n'est pas sans rappeler celle de certains "intellectuels" juifs en France qui ne voient aucune contradiction à vouloir ouvrir bien grandes les vannes de l'immigration pour la France tout en défendant farouchement un état d'Israël pourtant très peu porté sur l'accueil des "migrants".



Bref...

Kevin MacDonald retrace succinctement le parcours de nombreux néoconservateurs depuis leur soutien à Henry Jackson (Perle et Wolfowitz) à leur arrivée en masse dans l'administration Reagan.
Plusieurs officines néoconservatrices sont aussi citées, l'AIPAC évidemment mais aussi l'American Enterprise Institute,  le Center for Security Policy, le Jewish Institute for National Security Affairs, Middle East Forum, Social Democrats/USA, PNAC, WINEP, ZOA, etc.
Si un document émane d'une de ces boutiques, vous savez à quoi vous en tenir...

Un petit ouvrage très pertinent et documenté qu'on aurait aimé plus épais mais qui a le mérite d'aller à l'essentiel et de bien dessiner les contours de la nébuleuse néoconservatrice.






vendredi 14 septembre 2018

Le manifeste des généticiens (1939)



Transhumanisme et mondialisme sont intimement liés dans un même but : l'uniformisation de la population de la planète.
Ensuite, pourra se constituer une élite génétiquement modifiée provenant des familles les plus puissantes financièrement.
C'est en tout cas le "plan", la voie à suivre.
Celle-ci est tracée ci-dessous avec le "manifeste des généticiens", document datant de 1939, les passages soulignés l'ont été par mes soins.

Le premier renvoie directement et brutalement au mondialisme le plus décomplexé, le second est parfaitement illustré dans l'ouvrage d'Aldous Huxley (frère de Julian, un des signataires du présent manifeste avec, entre autres, John B.S. Haldane) "Le Meilleur des Mondes"  et illustre à merveille une vision panthéiste du monde et de la vie, chaque individu faisant partie d'un "grand tout" indissociable (la liberté et le libre arbitre sont évacués).
Ce qui n'était qu'une utopie de plus aux vagues relents communistes devient de plus en plus palpable à mesure que les progrès scientifiques s'intensifient, que la religion catholique recule (elle qui dans le passé savait s'opposer vigoureusement à toute marchandisation de l'humain) et enfin que le monde ne devienne qu'un vaste supermarché dans lequel on peut déambuler (tel un zombie) "librement".
Un monde de l'argent, conçu par et pour les plus riches dans lequel les états disposent d'un pouvoir de plus en plus réduit.
Tout cela était de la science-fiction, c'est désormais notre futur proche.
A moins que la Providence ne s'en mêle.


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Biologie sociale et amélioration de la population

En réponse à une requête du Service Scientifique de Washington, D.C., adressant la question « Comment la population mondiale peut le plus efficacement être améliorée génétiquement ? » à un grand nombre de travailleurs scientifiques, la déclaration ci-dessous a été préparée et signée par ceux dont le nom apparaît à la fin.



Cette question « Comment la population mondiale peut le plus efficacement être améliorée génétiquement ? » soulève des problèmes bien plus larges que ceux qui sont purement biologiques, des problèmes que le biologiste rencontre inévitablement dès lors qu’il tente de mettre en pratique les principes de son propre champ de spécialité. Car l’amélioration génétique effective de l’humanité dépend de changements majeurs dans les conditions sociales, et de changements corrélatifs dans les attitudes humaines.

En premier lieu, il ne peut y avoir aucune base valide pour estimer et comparer la valeur intrinsèque de différents individus, sans les conditions sociales et économiques fournissant des opportunités approximativement équivalentes pour tous les membres de la société, au lieu de les stratifier dès la naissance dans des classes avec des privilèges extrêmement différents.

Le deuxième obstacle majeur à l’amélioration génétique réside dans les conditions économiques et politiques qui favorisent l’antagonisme entre les différents peuples, nations et « races ». La suppression des préjugés raciaux et de la doctrine non scientifique selon laquelle les bons ou les mauvais gènes sont le monopole de peuples particuliers, ou de personnes ayant une caractéristique donnée, ne sera cependant pas possible avant que les conditions qui produisent la guerre et l’exploitation économique n’aient été éliminées. Cela nécessite une forme effective de fédération du monde entier, basée sur l’intérêt commun de tous ses peuples.

Troisièmement, on ne peut pas s’attendre à ce que l’éducation des enfants prenne activement en compte le bien des générations futures à moins que les parents aient en général une sécurité économique très considérable et à moins qu’ils se voient accorder les aides économiques, médicales, éducatives et autres, adéquates pour la naissance et le développement de chaque enfant supplémentaire, de telle sorte qu’avoir plus d’enfants ne soit un fardeau supplémentaire pour aucun d’eux. Vu que la femme est particulièrement affectée par l’enfantement et l’éducation, elle doit se voir accorder une protection spéciale pour s’assurer que ses devoirs reproductifs n’interfèrent pas trop avec ses possibilités de participer à la vie et au travail de la communauté au sens large. Ces objectifs ne peuvent être atteints à moins qu’il y ait une organisation de la production au bénéfice premier du consommateur et du travailleur, et que les conditions d’emploi soient adaptées aux besoins des parents et en particulier des mères, et que les logements, les villes et les services communs soient en général transformés avec les biens des enfants comme un de leurs objectifs principaux.

Un quatrième prérequis pour l’amélioration génétique effective est la légalisation, la dissémination universelle, et le développement par le travail scientifique de moyens toujours plus efficaces de contrôle des naissances, à la fois positifs et négatifs, qui puissent être appliqués à tous les stades du processus de reproduction – comme la stérilisation volontaire temporaire ou permanente, la contraception, l’avortement (comme troisième ligne de défense), le contrôle de la fertilité et du cycle sexuel, l’insémination artificielle, etc. A côté de tout cela, le développement de la conscience et de la responsabilité sociale concernant la production des enfants est requis ; et on ne peut espérer que cela soit opératoire sans que soient présents les changements dans les conditions économiques et sociales qu’on a déjà mentionnées et qui sont nécessaires à leur épanouissement, et que l’attitude superstitieuse envers le sexe et la reproduction qui prévaut aujourd’hui ne soient remplacée par une attitude scientifique et sociale. Ceci conduira à ce qu’avoir les meilleurs enfants possibles sera considéré, pour une mère mariée ou non, pour un couple, comme un honneur et un privilège, sinon un devoir, à la fois par rapport à leur éducation et à leur patrimoine génétique, même si pour ce dernier aspect cela signifierait un contrôle artificiel – mais toujours volontaire – du processus de parenté.

Avant qu’on puisse s’en remettre aux gens en général, ou à l’État qui est censé les représenter, pour adopter des politiques rationnelles afin de guider leur reproduction, il devra y avoir, cinquièmement, une bien plus grande extension de la connaissance des principes biologiques et de la reconnaissance du fait qu’à la fois l’environnement et l’hérédité constituent les facteurs dominants et inévitablement complémentaires dans le bien-être humain, mais des facteurs qui sont tous deux sous le contrôle potentiel de l’homme, et qui admettent un progrès illimité mais interdépendant. L’amélioration des conditions environnementales augmente les possibilités d’amélioration génétique comme on l’a déjà indiqué. Mais il faut également comprendre que l’effet d’un environnement amélioré sur les cellules germinales n’est pas direct et que la doctrine lamarckienne, selon laquelle les enfants dont les parents ont eu de meilleures opportunités pour leur développement physique et mental héritent sur le plan biologique de ces améliorations, et selon laquelle, par conséquent, les classes et peuples dominants seraient devenus génétiquement supérieurs à ceux qui sont défavorisés, est fausse.

Les caractéristiques intrinsèques (génétiques) d’une génération ne peuvent être meilleures que celles de la génération précédente que par le résultat d’une forme de sélection, c’est-à-dire, parce que les personnes qui, dans la génération précédente, avaient le meilleur équipement génétique ont produit en tout plus de descendants que les autres, soit par un choix conscient, soit par un effet automatique de la manière dont ils ont vécu. Dans les conditions de la civilisation moderne, il est bien moins probable qu’une telle sélection soit automatique que dans les conditions primitives, donc on doit en appeler à une sorte d’encadrement conscient de la sélection pour la rendre possible. Cependant, la population doit d’abord apprécier la force des principes énoncés ci-dessus, et la valeur sociale qu’une sélection sagement guidée aurait.

Sixièmement, la sélection consciente nécessite, de plus, que la ou les directions que doit prendre cette sélection soient approuvées, et ces directions ne peuvent pas être sociales, c’est-à-dire convenant au bien de l’humanité dans son ensemble, sans que les motivations sociales prédominent dans la société. Ceci en retour implique son organisation socialisée. Les objectifs génétiques les plus importants, du point de vue social, sont l’amélioration des caractéristiques génétiques produisant (a) la bonne santé, (b) le complexe qu’on nomme intelligence, et (c) les qualités de tempérament qui favorisent l’empathie et la sociabilité plutôt que celles (aujourd’hui plus estimées par beaucoup) qui produisent le ‘‘succès’’ personnel, au sens où succès est usuellement compris de nos jours.

Une compréhension plus étendue des principes biologiques amènera avec elle la prise de conscience qu’on peut rechercher bien plus que la prévention de la détérioration génétique, et que l’élévation du niveau de la moyenne de la population à celui le plus haut existant aujourd’hui chez des individus isolés, concernant le bien-être physique, l’intelligence et les qualités du tempérament, est une réalisation qui – pour autant que des considérations purement génétiques soient concernées – serait physiquement possible en un nombre comparativement faible de générations. Dès lors chacun pourrait considérer le ‘‘génie’’, combiné bien sûr à la stabilité, comme un droit de naissance. Comme le cours de l’évolution le montre, cela ne représenterait pas du tout un état final, mais seulement un acompte des progrès ultérieurs encore à venir. L’effectivité de tels progrès nécessiterait cependant un accroissement intensif et extensif des recherches en génétique humaine et dans les nombreux champs d’investigation qui lui sont corrélés.

Cela impliquerait la coopération de spécialistes de branches variées de la médecine, de psychologie, chimie et, non des moindres, des sciences sociales, avec l’amélioration de la constitution propre de l’homme lui-même comme thème central. L’organisation du corps humain est merveilleusement intriquée, et l’étude de sa génétique est confrontée à des difficultés spécifiques qui nécessitent que la poursuite de recherches dans ce domaine se fasse à une bien plus grande échelle, et même d’une manière plus exacte et analytique que jusqu’ici. Cela ne pourra, cependant, se produire que lorsque les esprits des hommes se seront détournés de la guerre et de la haine ainsi que de la lutte pour les moyens élémentaires de subsistance, afin de se fixer sur des buts plus importants, poursuivis en commun.

Le jour où la reconstruction économique atteindra le point où de telles forces humaines seront lâchées n’est pas encore arrivé, mais c’est la tâche de cette génération de s’y préparer, et chaque pas sur ce chemin représentera un gain, non seulement pour la possibilité de l’amélioration génétique ultime de l’homme, à un degré rarement rêvé jusqu’ici, mais en même temps, plus directement, pour la maîtrise humaine des maux plus immédiats qui menacent tellement notre civilisation moderne.


Initiateurs :

Francis Albert Eley Crew (1903-1981), généticien britannique.

Julian Sorell Huxley (1887-1975), évolutionniste britannique.

John Burdon Sanderson Haldane (1892-1964), biologiste britannique.

Hermann Joseph Muller (1890-1967), généticien américain.

S. C. Harland, généticien.

J. Needham.

Lancelot Thomas Hogben (1895-1975), zoologiste britannique.



Signataires additionnels :

G. P. Child,

Charles Leonard Huskins (1897-1953), généticien canadien.

P. R. David,

W. Landaurer,

Gunnar Dahlberg (1893-1956), médecin suédois.

H. H. Plough,

Theodosius Grygorovych Dobzhansky (1900-1975), biologiste de l’évolution américain.

E. Price.

Rollins Adams Emerson (1873-1947), généticien américain.

J. Schultz,

C. Gordon,

Arthur G. Steinberg (1912-2006), médecin.

John Hammond (1889-1964), vétérinaire.

Conrad Hal Waddington (1905-1975), biologiste britannique.


Une traduction de :
“Social Biology and Population Improvement”,
Nature. Vol. 144, 1939, p. 521-522.

Traduction réalisée par Simon Gouz,
Biographie d’une vision du monde :
les relations entre science, philosophie et politique
dans la conception marxiste de J.B.S. Haldane,
thèse de l’université de Lyon, 2010.


Source : https://sniadecki.wordpress.com/2015/01/19/manifeste-des-geneticiens-1939/

mardi 11 septembre 2018

Réchauffement climatique ?

reconstruction des températures dans la région Arctique-subarctique


Oui le climat change.
Mais il n'y a rien de nouveau là-dedans, le climat a toujours été l'objet de fluctuations plus ou moins marquées.
Par exemple, le "petit âge glaciaire" qui s'étale du XIVe au XIXe siècle est bien visible sur ce graphique, comme la période de l"optimum climatique médiéval" autour de l'an mille.
Robert II Le Pieux, qui régna de 996 à 1031, convoqua-t-il lui aussi sa "COP 21" pour inciter les vaches à émettre moins de méthane ? 

Source du graphique : Institut Pierre-Simon Laplace

lundi 10 septembre 2018

La Révolution selon Louis-Ferdinand Céline




 Ça suffit pas la misère pour soulever le peuple, les exactions des tyrans, les grandes catastrophes militaires, le peuple il se soulève jamais, il supporte tout, même la faim, jamais de révolte spontanée, il faut qu'on le soulève, avec quoi ? Avec du pognon.
   Pas d'or pas de révolution.
   Les damnés pour devenir conscients de leur état abominable il leur faut une littérature, des grands apôtres, des hautes consciences, des pamphlétaires vitrioleux, des meneurs dodus francs hurleurs, des ténors versés dans la chose, une presse hystérique, une radio du tonnerre de Dieu, autrement ils se douteraient de rien, ils roupilleraient dans leur belote. Tout ça se paye, c'est pas gratuit, c'est des budgets hyperboliques, des tombereaux de pognon qui déversent sur le trèpe pour le faire fumer.
   Il faut étaler les factures, qui c'est qui dèche ? C'est à voir.
   Pas de pognon, pas de fifres, pas de grosses caisses, pas d'émeutes par conséquent.




(...)
  Pas d'or, pas de révolution.
  Le damné il est pas commode faut qu'on l'éclaire et bougrement, pour qu'il s'élance aux barricades, qu'il commence à faire le fou. Il préfère lui la vie de famille, l'autobus et le meeting baveux. Au fond il aime pas les histoires. Il est conservateur fini, il est de la terre, né Bidasse, faut pas l'oublier. Voter ça devrait bien suffire, voilà ce qu'il pense intimement. Il tient pas aux sacrifices, aux piscines de sang. Il y tient même pas du tout. Il faut pour ça qu'on l'enfurie, qu'on le picadorise à mort. C'est un tintouin du tonnerre. Il est gueulard mais pacifique. Plus mendigot que fracasseur. Il veut bien encore des violences mais si c'est les autres qui dérouillent.

 (...)
La vieille Bastille et ses neuf tours, serait toujours au poste, altière, hautaine, formidable, et ne gênerait vraiment personne, pas plus que Fresnes ou l'île de Ré, si les Banques, les démons de Londres, n'avaient pas fait le nécessaire, enflammé la viande saoule à temps, déchaîné l'émeute, le carnage, soulevé l'ouragan des ragots, les torrents de bave conventionnels, l'ébullition de la frime du sang. L'arrière petit-fils de Louis XIV serait encore à l'Elysée, Marie-Antoinette révérée par tous les enfants des écoles, patronne de l’élevage des agneaux, si Pitt avait pas insurgé les petits scribouilleux de l'époque, pourri la noblesse à gaga, versé les ronds à pleines hottes, soudoyé la cour et les champs, les mères abbesses et les bourreaux... 

Sans or les idées ne sont rien.
Il faut verser l'or à foison, à boisseaux, à tonnes, pour soulever le peuple.
Qui n'en a pas n'insurge personne.
Pas plus aujourd'hui qu'autrefois.




Tout d'abord un commanditaire ! C'est la condition du spectacle ! Et point petit cave chichiteux ! quelque hagard effaré comparse ! Pouah ! Quelle horreur ! Quelle insolence ! Non ! Tel répondant colossal ! Le plus coûteux des opéras ! Y songez-vous ? L'Opéra des Insurrections ! Avec Déluges ! Chœurs symphoniques ! Oh ! la ! la! Si ça vous entraîne ! Tâtez-vous avant d'y toucher ! Vous en avez ? Z'en avez pas ? Quelle est votre banque ? Vous êtes raides ?

Alors taisez-vous ! Caltez ! emmerdez personne ! Vous êtes qu'un petit impertinent ! un petit garçon mal embouti ! Allez donc apprendre la musique ! Ça vous disciplinera l'esprit ! On n'insurge qu'avec des espèces et pas du semblant ! des pichenettes ! Non ! Non ! Des trombes ! Cyclones de pèze !

Guillotine est fille de Guichet.




Louis Ferdinand Céline, Les Beaux Draps.

dimanche 9 septembre 2018

Pour Bergoglio : Le cléricalisme, voilà l'ennemi !


Bergoglio continue son oeuvre anti-catholique en exhortant les nouveaux évêques à "rejeter le cléricalisme".

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Le pape François a appelé samedi des dizaines de nouveaux évêques de "terres de mission" à rejeter le cléricalisme -- la tentation du clergé de dominer la vie publique et politique--, cause à ses yeux de tous les abus.

"Chers frères, fuyez le cléricalisme. Dire non aux abus, qu'ils soient de pouvoir, de conscience ou de tout autre type, signifie dire non avec force à toute forme de cléricalisme", a déclaré le pape en recevant 74 nouveaux évêques venus essentiellement d'Afrique mais aussi d'Asie, d'Océanie et d'Amérique latine.


Ces évêques participent actuellement à une formation de deux semaines qui fait une place importante à la lutte contre la pédophilie, alors que l'Eglise n'en finit plus d'être secouée de nouveaux scandales de prêtres pédophiles couverts par leur hiérarchie au nom de la protection de l'institution.


Le programme de la formation prévoit ainsi une intervention de Mgr Charles Scicluna, l'archevêque de Malte que François avait envoyé en début d'année enquêter sur les scandales de pédophilie au Chili, et du père Hans Zollner, directeur du Centre pour la protection des mineurs à Rome.


Sans s'étendre sur ces thèmes, le pape a appelé les nouveaux évêques à résister à la tentation de se comporter en "princes" ou en "patrons" dans leur diocèse.


"Soyez des hommes pauvres en biens et riches en relations, jamais durs ou dans la confrontation mais affables, patients, simples et ouverts", a-t-il dit.


L'évêque de Rome a appelé les nouveaux prélats à "dédier du temps et de l'énergie" aux pauvres, "sans avoir peur de se salir les mains" et à faire preuve de patience avec les jeunes: "Même s'ils semblent contaminés par le virus de la consommation et de l'hédonisme, ne les mettons jamais en quarantaine".



Et ils les a exhortés à ne pas se reposer sur leurs lauriers: "Méfiez-vous de la tiédeur qui porte à la médiocrité et à l'apathie, ce démon de midi. Méfiez-vous de la tranquillité qui esquive le sacrifice, du zèle pastoral qui porte à l'intolérance, de l'abondance des biens qui défigure l'Evangile. N'oubliez pas que le diable entre par les poches!"

Source : Lalibre.be



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Qui aurait pu croire qu'un jour un Pape tienne un discours digne d'un franc-maçon de la IIIe République ?
En effet, comment ne pas songer au "le cléricalisme, voilà l'ennemi !" que scandait Léon Gambetta devant la chambre des députés le 4 mai 1877 ?




Par ailleurs, le "diable" entrerait "par les poches" selon Bergoglio.
Le problème est-il l'argent ou la manière dont on utilise ce dernier ?
Mais sans argent, comment racheter et libérer les esclaves (ce que faisait fréquemment l'Eglise au Moyen-Age), financer des missions, soigner les malades, éduquer les enfants, construire et entretenir des édifices, en un mot, assurer la survie d'une oeuvre, dont l'objectif est certes Céleste, mais qui évolue sur un terrain dont les nécessités sont, elles, bien terrestres ?
En revanche, sur le scandale du lobby gay et de la pédophilie au sein du Vatican récemment dénoncé par Mgr Vigano, Bergoglio se fait beaucoup plus discret.

Plus que jamais, l'Eglise est éclipsée... 
Pour combien de temps encore ?

Court extrait des "Carnets de Turner"



Un court extrait des "Carnets de Turner", constat facilement adaptable à la France de 2018.

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Nous avions basé tous nos plans - en fait c'était tout le raisonnement de l'Organisation - sur la supposition que les Américains étaient viscéralement opposés à la tyrannie et que, lorsque le Système deviendrait suffisamment oppressif, ils pourraient être amenés à le renverser.
Nous avions grandement sous-estimé le degré auquel le matérialisme avait corrompu nos compatriotes, ainsi que l'étendue de la manipulation de leurs sentiments que pouvaient orchestrer les médias.
Tant que le gouvernement est en mesure de maintenir l'économie à un niveau acceptable, le peuple quant à lui, peut être conditionné à accepter n'importe quelle humiliation.
Malgré l'inflation continue de leur niveau de vie, la plupart des Américains ont toujours la possibilité d'avoir aujourd'hui le ventre rempli.
Nous devons accepter le fait qu'il s'agisse de l'unique chose qui compte pour la majorité d'entre eux !




Macron célèbre le nouvel an juif, une première pour un Président de la République en exercice

Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron à la grande synagogue de Paris, le mardi 4 septembre dernier.
Emmanuel Macron a assisté mardi soir à la grande synagogue de Paris à une présentation des voeux à la communauté juive pour les fêtes du Nouvel an juif, Roch Hachana, qui débutent dimanche soir, en présence des responsables de la communauté. Arrivé vers 20 heures à la synagogue de la rue de la Victoire (IXe arrondissement), il a été accueilli par le grand rabbin de France, Haïm Korsia, le président du consistoire, Joël Mergui, et le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim, en présence de plus d'un millier de personnes qui lui ont réservé un accueil très chaleureux.

C'est la première fois qu'un président de la République assiste à cette cérémonie laïque, précise l'Elysée, qui rappelle que, l'an dernier, Emmanuel Macron s'était rendu à la célébration des 500 ans du protestantisme et avait participé au dîner de rupture du jeûne du ramadan, organisé par le Conseil français du culte musulman. Le président n'a pas pris la parole pour des questions de laïcité. "Vous êtes comme le Mur occidental, [souvent appelé Mur des lamentations, NDLR] à qui nous confions nos peines et nos espoirs, sans qu'il ne nous réponde alors que nous savons bien que quelqu'un nous entend!", a plaisanté le grand rabbin de France Haïm Korsia. L'année dernière, c'est le Premier ministre Edouard Philippe qui avait présenté ses voeux à la communauté juive dans la synagogue de la rue Buffault et il y avait pris la parole.

Nicolas Sarkozy était également présent
Les responsables communautaires juifs ont particulièrement mis en garde sur la montée de l'antisémitisme : "Nos rabbins [...] constatent la recrudescence des actes antisémites, dont ils refusent que la paternité soit attribuée à des déséquilibrés", a souligné Joël Mergui, déplorant aussi "les dangers et les ravages de la parole antijuive" sur les réseaux sociaux. "Les faits redoublent", a abondé Haïm Korsia. L'année 2017-2018 a été marquée par les meurtres de Mireille Knoll et de Sarah Halimi. Dans les deux cas, la circonstance aggravante d'antisémitisme a été retenue.

Joël Mergui a par ailleurs dit vouloir refuser d'être "les victimes collatérales d'une laïcité de repli qui croit lutter contre l'islamisme". Il a mis en garde : "Après avoir été longtemps le pays d'Europe de la plus grande immigration juive, la France est devenue aujourd'hui le pays de la plus grande émigration juive du monde". Soulignant leur attachement à la laïcité en France, les deux responsables ont aussi fait part de leurs inquiétudes à l'égard de la montée des populismes "et la montée des racismes en Europe".

Joël Mergui a invité le chef de l'Etat à "accompagner" les "projets" de la communauté juive, notamment en apportant un soutien au futur Centre européen du judaïsme qui doit ouvrir courant 2019 à l'ouest de Paris. Autres demandes : que "l'abattage rituel, la circoncision, les fêtes religieuses" ne soient "plus perçues comme des concessions en marge du droit [...] mais (soient) des libertés évidentes".

Emmanuel Macron, qui a pris plusieurs bains de foule avant et après les discours, a reçu plusieurs pots de miel, synonyme de douceurs sucrées pour la nouvelle année. Selon Joël Mergui, le Président de la République devrait se rendre "prochainement" en Israël. Parmi les invités figuraient plusieurs ministres du gouvernement dont Gérard Collomb (Intérieur), mais aussi l'ex-président Nicolas Sarkozy, la maire de Paris, Anne Hidalgo, la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, des députés et quelques personnalités comme Marek Halter ou Francis Huster.

Source : Lejdd


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Une "cérémonie laïque" dans une synagogue, pourquoi pas...
République et Synagogue font partie d'un même bloc (voir la "prière pour la République française" prononcée lors des offices du chabbat).
J'ai réalisé un petit tableau qui, je pense, montre le glissement progressif qui s'est opéré à l'Elysée en faveur d'Israël et des Juifs depuis le début de la Ve République.




Visite en Israël
Excuses pour Seconde Guerre Mondiale/Vichy
Participation Dîner du CRIF (création en 1985)
Divers
Participation festivités Roch Hachana (Nouvel an juif)
Propos sur Israël/les Juifs
Charles de Gaulle
Non
Non
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« envers Israël, nous ressentons de l’admiration, de l’affection et de la confiance » (1960)

« peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur » (27 novembre 1967)
Georges Pompidou
Non
Non
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Ancien DG de la banque Roth-schild

« on aura beau faire, on aura beau dire, je ne suis pas antisémite. »  (février 1970)
Valéry Giscard d’Estaing
Non
Non
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« ce que je ne vois pas clairement, c’est quel est le but de votre politique » (s’adressant à Moshe Dayan, le 30 janvier 1979)
François Mitterrand
Oui
Non
Non


«Vous constatez là, l’influence puissante et nocive du lobby juif en France. » (17 mai 1995)
Jacques Chirac
Oui
Oui
Non


« La France conserve à l’égard des Juifs une dette imprescriptible » (16 juillet 1995)
Nicolas Sarkozy
Oui
Oui
Oui
Par sa mère, issu d’une famille juive de Salonique

« La France a des racines juives » (février 2011)
« La sécurité d’Israël est le combat de ma vie. » (26 novembre 2014)
François Hollande
Oui
Oui
Oui


« Je suis l’ami d’Israël et le resterai toujours » (15 novembre 2013)
Emmanuel Macron
A venir
Oui
Oui
Ancien banquier de Roth-schild
Oui
« La France ne renoncera jamais aux Juifs de France » « Le boycott d’Israël sera sanctionné » « La sécurité de notre allié israélien n’est pas négociable » (7 mars 2018)

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